De plus en plus, l’adoption de nouvelles approches permet de faire évoluer les soins offerts aux femmes. C’est le cas de la pathologie numérique et du test VPH, qui donnent accès à des diagnostics plus performants. Aussi, on s’intéresse à l’impact de l’endométriose sur la sexualité féminine.
La pathologie à l’ère numérique
La pathologie consiste à examiner des cellules au microscope pour détecter des anomalies. Grâce à la numérisation des échantillons, il est maintenant possible d’obtenir des diagnostics plus précis, notamment pour le cancer du sein.
Le test de détection du virus du papillome humain, ou test VPH, remplacera sous peu le test Pap pour le dépistage primaire du cancer du col de l’utérus au Québec. Cette technique moins invasive détecte 40% plus de cas.
Relations sexuelles douloureuses? C’est peut-être un signe d’endométriose. Cette maladie difficile à diagnostiquer affecte la vie intime et l’estime de soi de 10% des femmes en âge de procréer.